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FEMMES, AVENIR DE L'AFRIQUE
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19 juin 2010

Mahmoud Abbas insiste auprès de George Mitchell sur la levée totale du blocus de Gaza

        Mahmoud Abbas insiste auprès de George Mitchell sur la levée totale du blocus de Gaza      

                      

         

L'émissaire américain pour le Proche-Orient George Mitchell (g) et
 le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à Ramallah, le 
18 juin 2010.

L'émissaire américain pour le Proche-Orient George Mitchell (g) et le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas à Ramallah, le 18 juin 2010.

REUTERS/Majdi Mohammed

       

             

                  

            Par RFI          

               

Les mesures d'allègement du blocus de Gaza, annoncées jeudi 17 juin par le gouvernement israélien, ont du mal à convaincre côté palestinien. Le président de l'Autorité palestinienne Mahmoud Abbas a souligné vendredi 18 juin, devant l'émissaire américain George Mitchell, la nécessité de lever totalement le blocus israélien de la bande de Gaza.

      

                         

       

Avec notre correspondante à Jérusalem, Catherine Monnet

C'est un message qu'il répète, où qu'il soit, à tous ses interlocuteurs étrangers. Lundi, c'était à Paris, à Nicolas Sarkozy. Quelques jours avant, c'était à Washington pendant sa rencontre avec le chef de la Maison Blanche. Cette fois, de retour dans les Territoires palestiniens, c'est à l'émissaire américain, George Mitchell, que Mahmoud Abbas rappelle  la nécessité de lever totalement le blocus israélien de la bande de Gaza.

Pour le président de l'Autorité palestinienne, le blocus est comme « une sanction collective » infligée aux 1,5 million d'habitants de Gaza. Les mesures d'allègement annoncées jeudi 17 juin par le cabinet israélien ne satisfont personne côté palestinien.

« C'est une tentative israélienne d'absorber la pression internationale qui devenait trop forte », explique Akram Attalah. L'analyste interrogé par l'agence palestinienne Man News précise qu'il « n'y a rien de nouveau dans la décision israélienne, si ce n'est que le siège va désormais continuer avec le soutien de la communauté internationale ».

      

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