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FEMMES, AVENIR DE L'AFRIQUE
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5 juin 2010

Les entrepreneurs africains et français s'essaient au speed-dating

                             

En marge du sommet Afrique-France à Nice, des entrepreneurs africains et français explorent de nouvelles pistes de collaborations avec la seconde édition d'Africa France business meeting, des rendez-vous d'affaires sur le mode du "speed dating".

AFP - Quelque 200 entrepreneurs africains et français se rencontrent mercredi et jeudi à Bordeaux, en marge du sommet de Nice, lors de la deuxième édition d'Africa France business meeting, des rendez-vous d'affaires sur le mode du "speed dating".

Des représentants de 26 pays africains (francophones, anglophones et lusophones) viennent nouer un contact avec 70 chefs d'entreprises français. Des rencontres éclairs (20 mn) organisées dans de petits box, explique Gérard Parfait, le commissaire de la manifestation.

Ce chef d'entreprise bordelais, fondateur du club Entreprise Bordeaux Afrique, explique que dès la première édition en 2009, ces rencontres avaient connu un réel engouement preuve, selon lui, qu'il y a "une vraie attente des chefs d'entreprises" des deux continents.

"Ce sont essentiellement des PME de tous les secteurs d'activités (santé, BTP, agroalimentaire, énergie, transport, TIC...) qui profitent de cette occasion pour débuter une relation. L'an passé, chaque entreprise est repartie avec une vingtaine de contacts", précise Gérard Parfait.

Maimouna Manouya Ali Saibou est l'une des nombreuses femmes d'affaires africaines venues à Bordeaux. Cette Nigérienne, directrice d'une entreprise agroalimentaire qui produit notamment des oignons et de l'arachide, est à la recherche de solutions pour l'emballage, la conservation et le transport de ses produits.

"Dans les affaires le +feeling+ est primordial", affirme la chef d'entreprise, après avoir trouvé une proposition de solution intéressante. Et, après un échange de cartes de visite, "des rendez-vous seront pris", explique-t-elle.

Pour l'avocat camerounais Ibrahim Bah, représentant d'un important cabinet d'Abidjan, c'est l'occasion de présenter un nouveau visage des entreprises africaines.

"Nous expliquons que nous maîtrisons notre environnent, le contexte juridique mais aussi le contexte sociologique et politique. Nous assurons ainsi la sécurité des investissements", explique l'avocat d'affaires ivoirien.

          Par Dépêche  (texte)                           
AFP  (vidéo)
france 24
             

       

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